Nouveau collier cervical Auris : le Cerviflex
Vous souffrez de douleurs au niveau du cou depuis un traumatisme ou depuis longtemps sans raison apparente. La cervicalgie, qui signifie littéralement “douleur du cou”, ne désigne pas une pathologie précise mais un symptôme, qui peut correspondre à plusieurs problématiques. De nos jours, de nombreuses personnes se plaignent de cervicalgie. Celle-ci peut revêtir différentes formes : aiguë, chronique, d’apparition brutale ou progressive… Dans la plupart des cas, c’est un problème bénin, mais son impact sur la vie quotidienne n’en est pas moins important, surtout en cas de chronicité.
Après des mois de recherches, de prototypes et de tests, Auris a mis au point son nouveau collier cervical magnétique : le Cerviflex.
Nouvelle matière, nouvelle conception, nouvelle forme, tout est nouveau. Enveloppant, souple et résistant, il suit tous les mouvements de la nuque, sans gêne ni résistance, il s’adapte à toutes les morphologies.
Son coussinet "grand confort" évite la pression désagréable sur la glotte. Développé avec des professionnels de santé, le Cerviflex est la réponse naturelle et efficace aux cervicalgies. Ses 4 puissants aimants néodyme offrent un soulagement rapide et durable grâce à leur effet rémanent.
Découvrir le nouveau collier cervical magnétique : Cerviflex, une création 100% Auris.
Les extraordinaires bienfaits santé des olives
L'olive, ce petit fruit délicieux et parfumé, dont il existe près de 500 variétés différentes, est gorgé de nutriments bénéfiques pour la santé. L’intégrer à son alimentation quotidienne (sans en abuser) permet de booster le corps de la tête aux pieds.
L'olive est très intéressante pour sa richesse en vitamine E, un puissant antioxydant, qui protège le corps et en vitamine K1 qui participe à la bonne coagulation sanguine. Ce fruit est également apprécié pour sa richesse en sélénium et en fer ce qui va booster le système immunitaire
Avec 162 kcal pour 100 g, l'olive est l'un des encas salé les moins caloriques (145 calories pour les olives vertes ; 170 kcal pour les olives noires). C'est donc un bon choix pour l'apéritif.
Mais attention toutefois, les olives sont très salées (100 g d'olives équivalent à 81 % des apports journaliers recommandés).
Manger des olives régulièrement aide à lutter contre l’inflammation, car elles contiennent des polyphénols. Ce composé est connu pour ses pouvoirs antioxydants, anti-inflammatoires, antifongiques et antimicrobiens.
Elles seraient ainsi capables de :
- diminuer le stress oxydatif dans les cellules du cerveau, améliorer la mémoire, maintenir une bonne santé des yeux et lutter contre les rides.
- lutter contre la dégénérescence maculaire, la cataracte et le glaucome.
- de booster le bon cholestérol dans le sang et à favoriser une meilleure sensibilité à l’insuline, ainsi qu’à réduire les risques de maladies cardiovasculaires et d’hypertension.
- stimuler l'activité de la vésicule biliaire et du foie, favorisant ainsi le passage de la bille dans l'intestin.
L'huile d'olive peut s'utiliser aussi en cosmétique pour ses propriétés hydratantes, anti-âge et anti-bactériennes. On s'en servira comme démaquillant (avec rinçage) ou comme hydratant après la douche.
Attention toutefois à l'utiliser avec parcimonie, car elle est très grasse. Et bien sûr choisir une huile d'olive bio.
Nouvelle étude : l'humain ressent bien le champ magnétique terrestre
Bien que de faible intensité, le champ magnétique terrestre est perçu par différents animaux, de nombreux vertébrés répondent à des stimuli magnétiques : poissons, amphibiens, reptiles, oiseaux. Chez les mammifères : baleines, rongeurs, chauves-souris, vaches, chiens... Dans le monde microbien aussi, des bactéries possèdent des cristaux de magnétite, sortes de boussoles, permettant d'orienter la nage de la cellule en fonction des lignes du champ magnétique. La magnétite est ainsi présente chez de nombreux animaux, y compris dans le cerveau humain.
Des chercheurs californiens ont réalisé des expériences mettant en évidence la magnétoréception chez l'Homme : notre cerveau détecterait de façon inconsciente le champ magnétique terrestre. Les chercheurs de l'institut de technologie Caltech (Californie) ont voulu capter ces réactions inconscientes du cerveau. Ils ont créé une cage de Faraday (isolée du champ magnétique terrestre) dans laquelle pouvait être appliqué un champ magnétique statique d'une intensité de 35 µT (microTesla), dirigeable dans différentes directions. Ils ont suivi l'activité électrique du cerveau des 34 participants par électro-encéphalogrammes.
Lors de l'expérience, chaque participant devait rester assis sur une chaise dans cette chambre isolée, pendant 7 minutes, les yeux fermés, tandis que le champ magnétique était modifié.
Le champ pouvait tourner dans le sens horaire ou anti-horaire, comme si vous bougiez la tête à gauche ou à droite, et il était orienté vers le bas, avec une inclinaison de 60° par rapport à l'horizontale, comme le champ magnétique terrestre local.
Les participants n'ont rien senti de particulier quand le champ magnétique était modifié, mais leur cerveau semblait réagir. Les chercheurs ont en effet observé chez des participants que l'amplitude des ondes alpha diminuait beaucoup. Les ondes alpha (fréquence de 10 Hz) dominent un électro-encéphalogramme lorsque nous sommes détendus. Lorsqu'un stimulus apparaît subitement, le rythme des ondes alpha est désynchronisé, elles baissent en amplitude. Ce phénomène, appelé "désynchronisation liée à un événement alpha" ou alpha-ERD, peut avoir lieu, par exemple, quand le cerveau perçoit un flash lumineux. L'alpha-ERD signifie que le cerveau a capté un stimulus et traite l'information.
L'étude montre que le cerveau humain réagit aux variations du champ magnétique terrestre. D'après l’institut Caltech, "nous possédons un système sensoriel qui traite le champ géomagnétique tout autour de nous."
Une nouvelle question se pose alors : à quoi servirait ce sens géomagnétique chez l'Homme ? Peut-être que nos ancêtres chasseurs-cueilleurs l'utilisaient-ils pour s'orienter et survivre.
Dans l'expérience, il y avait des différences entre les participants : certains ne réagissaient presque pas, alors que d'autres avaient une chute de moitié des ondes alpha après le changement magnétique. Les êtres humains auraient donc une sensibilité géomagnétique variable d'une personne à une autre.
Ces résultats confirment ceux des différentes études cliniques menées par Auris qui montrent qu'il existe chez les patients des répondant hyper-rapides, des rapides et des lents, à la thérapie magnétique.
Les tempêtes solaires auraient un impact sur notre santé
Les tempêtes solaires sont fréquentes et peuvent avoir des conséquences sur notre planète notamment sur les systèmes électriques, les transformateurs... mais aussi sur notre santé.
L’impact magnétique provoqué par ce phénomène interfèrerait ainsi directement sur le système nerveux et cardiaque.
C’est en tout cas ce que démontre une étude publiée par des chercheurs de Boston, il y a quelques semaines dans Science.
Les chercheurs ont suivi 809 hommes âgés de 74 ans en moyenne et ont effectué des mesures répétées sur leur activité cardiaque.
Lors des perturbations géomagnétiques intenses dues à des tempêtes solaires, les chercheurs ont obtenu des résultats surprenants. Ils expliquent qu’ils ont observé "un effet quasi immédiat". Il s’agit de la première étude à démontrer les effets indésirables potentiels de l’activité géomagnétique sur la fréquence cardiaque.
Une précédente étude avait déjà montré que les perturbations électromagnétiques induites par l’activité solaire augmentaient le risque de mortalité et le risque de problèmes cardiovasculaires.
Malheureusement pour les cardiaques, le soleil est entré dans un nouveau cycle dont le pic d'activité est prévu pour 2025. Les tempêtes solaires devraient être de plus en plus fréquentes dans les mois qui viennent.
Il est donc important d'être informé en temps réel de l'activité du soleil, à quand une météo solaire ?
A quel âge devient-on droitier ou gaucher ?
La “latéralité manuelle”, cette préférence à se servir d’une main plutôt que de l’autre, semble déterminée avant même la naissance, dès la vie in utero. En effet, d’après une étude irlandaise, 90 % des fœtus sucent plus souvent leur pouce droit et 10 % leur pouce gauche. La quasi-totalité des fœtus “droitiers” le seront à l’âge adulte, tandis que seuls deux tiers des bébés gauchers seront de “vrais” gauchers…
Cependant dans les premiers mois de vie, tous les enfants ont une latéralité fluctuante : une étude française menée sur des bébés de 4 mois a mis en évidence une préférence pour la main gauche quand l’enfant tend la main vers un objet sans s’en emparer et une préférence pour la main droite quand il veut appréhender un objet.
Puis, au fur et à mesure que l’enfant grandit et manipule couramment des objets, sa préférence manuelle devient plus manifeste et ce dès 2 ans… Enfin, c’est vers 6 à 7 ans que cette latéralité se stabilise avec l’apprentissage de l’écriture, qui nécessite une coordination manuelle très fine et amène donc à opter définitivement pour une main.
Au final, 10 % des adultes sont gauchers contre 90 % de droitiers, parmi lesquels se cachent… des gauchers.
Ils écrivent et accomplissent des gestes de la main droite, d’autres de la gauche, l’apprentissage ne fait pas complètement disparaître la préférence spontanée.
Mettre un jouet dans la main droite d’un bébé gaucher n’en fera pas un “vrai” droitier.
Des généticiens britanniques ont montré que le gène LRRTM1 favoriserait l’état de gaucher. Et des études familiales soulignent également une transmission génétique de la latéralité : des droitiers auraient une probabilité de 9 % d’avoir un enfant gaucher alors que cette probabilité atteindrait 30 % pour un couple de gauchers.